PSEUDO ⊱ Anthea Grindelwald.
ÂGE ⊱ 25 ans.
PARTICULARITÉ DÉSIRÉE ⊱ Métamorphomages.

MOTIVATIONS ⊱ Anthea n'a pas acquit cette capacité, elle est née avec. Toute sa vie, elle n'a eu qu'une seule idée : cacher ce défaut certain. La joueuse au contraire trouve que pour son personnage, professeur (ex prof depuis le grand kaboum) de métamorphose, ce serait un atout certain, drôle à jouer et surtout cocasse en rp. De plus, j'ai plein d'idées !

EFFET SUR VOTRE VIE QUOTIDIENNE ⊱ Comme je l'ai dit au dessus, elle le vit très mal, toute sa jeunesse, elle a voulu le cacher. A chaque examen, chaque fois qu'elle était interrogée. Tout le monde l'appelait « le monstre » et lui disait d'aller dans le Cirque des Lutins des Bois. Une Gindelwald, raillée de la sorte ! Vous rendez-vous compte ! Elle en est très complexée.

RP ⊱

Ok ! C'est le grand jour, je peux le faire, oui, bien entendu que je peux le faire hein... Non ? Si ! Je suis une Grindelwald, l'une des lignées les plus parfaites lorsque l'on est un sorcier. Tu parles. On aime tout contrôler. Des maniaques, voilà ce que l'on est. Et des créatures imbues du pouvoir. Mais là n'est pas la question. J'allais passer ma dernière série d'examens avant de quitter Hogwarts. Professeur de métamorphose, oui, bientôt je serais professeur ici ! Rien que d'y penser, j'en avais des étoiles dans les yeux. Même si l'école avait beaucoup changé, mon nom me permettait d'échapper à bon nombre d'ennuis, même si mon statut de Ravenclaw avait déçu mes parents. Je finissais par en avoir l'habitude. Cela me rappele la toute première fois que je m'étais métamorphosée. Enfin. Pas la toute première fois, parait-il que j'ai muté à ma naissance. Ma plus grande soeur, Cordélia, se fout de moi depuis toute petite. Enfance, j'espérais qu'elle soit juste jalouse mais non, tout le monde m'a fait comprendre que changer de cheveux, de visage et de corps étaient immonde. Merci bien !

Ou en étais-je ? Ah ! Oui ! La première métamorphose dont je me rappelle. J'avais six ans, c'était un noël, nous étions en famille en gros quarante sang-pûrs qui n'aiment qu'eux-mêmes et haïssent la même communauté. Nous allions faire une photo, un de mes nombreux cousins m'a tiré les cheveux, j'ai crié après lui alors que mes cheveux raccourcissaient à vu d'oeil et devenaient rouges vifs. « Quelle horreur ! » hurla une tante. Et voilà, ma vie était foutue. Mais là, tout allait s'arranger, j'allais passer mon examen tranquillement et ça irait ! « Mademoiselle Grindelwald » On lance, je me lève, souffle un bon coup et m'avance dans la salle. On m'annonce le sujet, je souris. Je le connais sur le bout des doigts. Je commence à parler lorsque j'entends le jury murmurer, je les vois se pencher les uns vers les autres. Je fronce les sourcils. Portant machinalement ma main sous mon oreille, je récupère une mèche de cheveux. VERTS ! Mes cheveux sont verts. Je me passe la main sur le visage, mes pommettes bien en chair ont disparues. Je sens la frustration monter en moi, je sens les larmes m'arriver au bord des yeux. Je me lève d'un coup et quitte la salle en courant. Deux filles dans le couloir crient « Monstre ! Monstre ! Monstre ! » en riant. C'est vrai, c'est ce que je suis. A dix-sept ans, ma vie vient de finir. A cet instant précis, je n'ai qu'une envie, disparaître.

AUTRE CHOSE ⊱ si vous acceptez, je vous ferais des cookies tous les matins... De plus, certains ici le savent, mes rps sont plus longs, c'est juste que l'on arrête pas de m'appeler depuis cinq minutes

PSEUDO ⊱ Meredith Gaunt ÂGE ⊱ Vingt-trois ans PARTICULARITÉ DÉSIRÉE ⊱ Lycanthropie & Fourchelang.

MOTIVATIONS ⊱ Je vais commencer par le plus simple, la capacité de parler fourchelang. Etant une Gaunt et donc une descendante de Salazar, c’est une capacité héréditaire et donc il serait plus étrange qu’elle ne la possède pas que le contraire. Ceci dit, comme je souhaite le coupler avec la lycanthropie, si jamais vous n’accepter qu’une seule capacité j’aimerai autant que ce soit celle-ci qui passerait à la trappe étant donné que j’ai plus ou moins battit mon personnage sur le fait qu’elle se transforme en loup-garou. Bref, pour la lycanthropie, c’est assez simple en réalité, j’avais surtout envie de faire du personnage de Meredith quelqu’un d’assez torturé, tiraillé par sa famille et cette chose qui lui est tombé dessus tout d’un coup. Persuadée que ses parents ne l’accepteraient pas ainsi, elle changerait du tout au tout après avoir été infecté et je pensais que c’était quelque chose d’intéressant à jouer. Comment elle passerait d’une fille assez réservé mais dans le fond pas méchante à la réplique de ses parents, une réplique mauvaise sur la langue prête à partir et une supériorité acquise par le sang qui se ressentirait jusque dans son maintien. Quant au comment ça impliquerait une visite nocturne dans la foret interdite et une attaque d’un loup garou. Elle aurait été secourue par un camarade ce qui expliquerait qu’elle soit toujours en vie et pourquoi elle n’a pas été trop endommagée.

EFFET SUR VOTRE VIE QUOTIDIENNE ⊱ Merry vit dans la peur d’être découverte à tout moment. C’est pourquoi qu’elle tient tout le monde à distance et ne se laisse pas facilement approcher. Elle sait très bien les effets néfastes que cela pourrait avoir si sa lycanthropie venait à être découverte. Cette peur serait la base de son caractère et expliquerait pourquoi elle est si froide de prime abord. Elle passerait pas mal de temps dans la foret la nuit aussi, de sorte que personne ne pense qu’elle ne s’y rend que les soirs de pleine lune.
RP ⊱

Citation :

« Mademoiselle Gaunt ? » La demoiselle se figea en plein mouvement, arrêta même de respirer jusqu’à ce que la voix s’élève de nouveau. « Merry ? » La peur sembla progresser aussi rapidement que l’oxygène dans ses veines et sa respiration retrouvée se fit légèrement saccadée. Pour autant, elle n’en montra rien, redressa le buste et se tourna vers l’homme derrière elle. « Professeur James. » Elle prit soin de garder une voix neutre, comme s’il était tout à fait normal qu’elle soit quasiment nue à l’orée de la forêt interdite. Le regard du brun s’attarda sur ses courbes encore dénudée, ses jambes notamment. Pour autant, un pli soucieux apparu entre ses sourcils comme s’il n’appréciait pas ce qu’il voyait, ou plus vraisemblablement comme s’il se demandait pourquoi elle ne portait pas de pantalon. « Je vous en prie, faites comme vous. » Cette fois, son ton se fit plus cinglant pour le tirer de sa contemplation silencieuse. Il eut la décence de paraitre gêner et leva les yeux pour se contenter de son visage cette fois. « Désolé, c’est simplement qu’il est peu commun de croiser une jeune femme en petite tenue en train de gambader gaiement dans la forêt. » A juste titre, elle gambadait. De là à dire qu’elle le faisait gaiement il y avait de la marge. Pour autant, elle venait de se réveiller et s’apprêter à rentrer au château après la nuit de pleine lune. « Nous ne sommes pas tous des citadins. » Elle sous-entendait ainsi qu’elle profitait de la nature, rien de plus. Avec un peu de chance, il se contenterait de cette histoire et continuerait son chemin. De préférence avant qu’elle se liquéfie de peur. Elle avait beau prié le ciel que le sol s’ouvre et l’engouffre mais elle ne devait pas être en très bon terme avec l’au-delà puisqu’elle était toujours sur ses deux pieds. « Vous êtes blessée ? » Il s’approcha doucement et Merry eut à peine trois secondes pour réfléchir au meilleur moyen de gérer cette situation. Elle lui adressa finalement un léger sourire et baissa la tête comme une demoiselle en détresse l’aurait sans doute fait. Elle ne battait pas des cils mais elle n’était vraiment pas loin. Le désespoir peut vous pousser à des choses impressionnantes. « Oui, j’ai fait une mauvaise chute en me promenant hier soir. » Il la poussa doucement pour qu’elle s’asseye sur la souche derrière elle et examina sa jambe dont la blessure n’était que superficielle.

« Vous devriez faire plus attention aux soirées que vous choisissez, c’était la pleine lune hier. » Il avait baissé la voix à la fin de sa phrase, comme si le simple fait de l’énoncer pouvait conjurer les loups. Elle n’eut pas le temps de se préparer un visage neutre et une expression choquée passa sur son visage, ce qui n’échappa pas au professeur. Dieu n’était peut-être pas en si mauvais terme avec elle puisque le brun s’imagina qu’elle venait de se rendre compte à ce à quoi elle venait d’échapper. « Et oui, vous devez faire plus attention à vous. » Il avait laissé ses mains sur le mollet de la jeune femme, ce qui l’amena à penser qu’elle avait eut raison de jouer la carte de la fille facile. « Promit, la prochaine fois, je me renseignerai plus attentivement avant de revenir. » Elle était à deux doigts de vomir intérieurement en vue de ce qu’elle était en train de faire. Il devait avoir vingt ans de plus qu’elle bon dieu ! « Je pourrais peut-être vous raccompagner, pour être certain que vous rentriez saine et sauve. » Heureusement qu’elle avait quatre ans de mensonge derrière elle parce que sinon jamais elle n’aurait pu sourire à cette révélation. « Ce serait vraiment gentil. » Cela lui ressemblait tellement peu, ou du moins si peu à la jeune femme que tout le monde connaissait. Elle se leva pour récupérer son pantalon à quelque pas d’eux et l’enfila en lui tournant le dos tout en pensant qu’elle était passée à ça de se faire découvrir. Il lui fallait faire plus attention et surtout, éviter le professeur le plus possible à l’avenir.

Bien évidemment, il ne fallut pas cinq heures pour que celui-ci pénètre la bibliothèque après leur rencontre matinale. Elle avait de nouveau endossé le masque de cette fille hautaine et insaisissable et lorsqu’elle l’aperçu du coin de l’œil s’approcher d’elle, elle jura. « Mademoiselle Gaunt. » Il affichait un léger sourire complice, comme si leur rencontre impromptue les avait rapprochés. Il n’imaginait pas à quel point cela avait ouvert un gouffre entre eux. Si elle ne laissait personne s’approcher d’elle c’était justement pour ne pas que l’on découvre son sombre secret. « Professeur James. » Elle utilisa le même ton que ses premières paroles matinales, comme si rien ne s’était passé. « Je suis attendue ailleurs donc vous pouvez vous adresser à ma collègue. » Elle ajouta un léger sourire comme pour s’excuser de partir précipitamment et le planta au milieu d’une allée pour rejoindre les toilettes. Une fois certaine d’être seule, elle se mit à frapper le mur jusqu’à ce que la douleur physique chasse ce cocktail de peur et de dégout de soit qui la faisait faiblir. Des larmes de rage se mirent à couler le long de ses joues lorsqu’elle se laissa finalement glisser au sol. Elle s’était si bien barricadée dans sa tour intérieure qu’elle n’avait plus personne vers qui se tourner. Elle était seule, si seule.

AUTRE CHOSE ⊱ Pour le rp c'est plus après avoir utilisé sa capacité mais je ne voyais pas vraiment comment faire lorsqu'elle devenait loup Sinon merci d'avoir prit le temps de lire

PSEUDO ⊱ Esfyr McGonagall.
ÂGE ⊱ vingt-deux ans.
PARTICULARITÉ DÉSIRÉE ⊱ animagus.
MOTIVATIONS ⊱ Esfyr est très liée envers son frère et son soeur, leur relation est fusionnelle. Aussi, lorsqu'une lycanthropie s'est manifestée chez son frère, elle a absolument voulu l'aider. Tout d'abord, elle lui a envoyé des livres de potions, puis, à Hogwarts, elle est tombée sur un livre traitant d'Animagus. Elle a, alors, tout de suite voulu en devenir un, pour pouvoir aider son frère les soirs de pleine lune, le surveiller ect. Elle a ainsi commencé il y a dix ans, lorsqu'elle avait onze ans. Elle n'est parvenue à se transformer complètement qu'il y a un ans. Ce fut long, fastidieux, et ce fut surtout la seule chose qu'Esfyr aie complètement réussie.

EFFET SUR VOTRE VIE QUOTIDIENNE ⊱ Pour l'instant Esfyr, suite à son enlèvement, reste assez prudente ; après tout, c'est en devenant louve qu'elle est parvenue à s'échapper ; c'est donc sous cette forme-ci aussi qu'on risque de la rechercher. Aussi modère-t-elle ses transformations et se cantonne aux nuits de pleine lune. Mais Esfyr n'est non plus quelqu'un qui irait crier sous les toits qu'elle est animagus. Elle est cependant recensée au ministère ; ce fut l'une de ses premières démarches.

RP ⊱

Citation :

« Sais-tu pourquoi t’es là ? » L’interpellation me fait tourner la tête vers la gauche, mes muscles grincent, protestent. Refusant d’adresser la parole à quelqu’un que j’vois pas, je secoue la tête. Ultime insulte de ma part, rire gras de sa part. « t’es l’un de ces fils de pute de phénix, voilà. » La colère, vive, s’embrase, glisse dans mes veines comme du feudeymon. Je serre les poings, mais j’peux retenir ma réplique. « c’est ça, ouais, carrément. Et vous avez si peur de moi que vous me laissez ce foutu bandeau pour pas que je voie vos visages de traîtres. » Téméraire est celle qui crache à la gueule de la Peur, folle est celle qui crache à celle de la Mort. J’attendais une gifle, bordel, j’attendais pas ça. « endoloris. » le murmure est à peine audible. A peine audible, et la douleur, elle, est fulgurante. J’veux pas leur faire le plaisir de gueuler ; peine perdue, les hurlements franchissent d’eux-mêmes mes lèvres. Recroquevillée sur ma chaise, tentant d’enrayer la douleur terrible, enfin, elle cesse. Pantelante, haletante, trop épuisée pour bouger ne serait-ce qu’ un orteil. « ça t’apprendras le respect. » pour sûr, là, j’suis plus prête à te lâcher un seul mot. L’interrogatoire ainsi, continue. A chaque mauvaise réponse, l’Endoloris se rappelle à son bon souvenir. A chaque réponse incomplète, l’Endoloris se charge de la compléter. Mais toutes les tortures du monde, ne me font pas dire ce qu’ils veulent savoir. L’Ordre. Ou ils se cachent. Qui ils sont. J’suis pas une putain de traitresse. Leurs tortures, ils peuvent les continuer, quand bien même les cessent-ils, je crache pas le morceau ; au final, ils me tuent, et là, se débarrassent de mon cadavre dans les égouts de Londres. Y’a un os, là, pourtant. S’ils ont réussi à m’arracher quelques brides de mon passé, ils ne savent pas. Et ils ne sauront pas. Pourtant, lorsqu’ils me laissent là, dans mon état déplorable, j’en fais rien. Et lorsque, ainsi de suite, le lendemain, le surlendemain ils reviennent, je ne décoche plus un mot. Lorsque, finalement, comprenant qu’ils n’obtiendront rien de ma carcasse, l’un se prépare, je saisit la chance tendue, là. La transformation est plus douloureuse que prévue ; leurs maigres repas m’ont fait maigrir, et ce, en quelques jours seulement. Les liens qui retiennent mes mains et mes pieds s’enfoncent dans ma peau, finissent par se déchirer, lorsque, épaississait, les muscles puissants de la louve remplacent les pattes de mouches de l’humaine. Le bandeau se déchire, de même ; mais leurs visages, plongés dans la pénombre, me sont refusés. Mon nez s’allonge, mes yeux deviennent deux puits d’or liquide, ma cage thoracique se casse puis se reforme ; le tout en quelques secondes, dans un halètement déchirant. Puis, je suis louve. Preste, rapide, fulgurante. Lorsque le sorcier le plus proche fait mine de jeter son sort, ma mâchoire se referme sur sa joue. Le goût métallique du sang pénètre ma gorge, et mon ventre gronde ; il a faim. Le sang appelle le sang. Sitôt les mâchoires desserrées, sitôt jetée sur le suivant. Ce coup-ci, mes crocs trouvent la chair tendre de la cheville, la mâchouillent, puis, un horrible « crac » retentit lorsque, d’un coup de mâchoire, os, tendons et moelle épinière sont brisés. Lorsque le troisième reprend ses esprits, à mon tour, je laisse l’instinct de louve de côté ; il est temps de déguerpir. La porte semi-ouverte, le dernier sorcier tente de s’enfuir. Preste est le loup, plus que l’humain ; il m’est aisé de lui échapper, de galoper. Etre louve est un sentiment extraordinaire. Oh, n’ai-je point précisé là, que ce fut la réussite ultime, après des années d’apprentissage ? Voilà dix ans, que j’ai commencé à étudier. Aujourd’hui, je suis louve. Et je me tire de là. (…)
« ESFYR!? » la voix de Perceval. Enfin. Mon cœur rate un battement. Là, dégingandée, les cheveux ébouriffés, une chemise volée pour seul vêtement sur le dos, du sang coagulé dans les oreilles, mais bien vivante. Sur le pas de la maisonnée des McGonagall, j’ai l’air d’une clocharde. Les larmes dévalant mes joues, je me jette dans ses bras. « je l’ai fait ! Je l’ai fait ! » murmure incompréhensible, certes, mais qui signifie tout. Il n’en faut pas plus pour que Percy pige le tout, et que, doucement, il m’entraine dans la chaleur du foyer. « Esfyr ! » la voix de Lulla, ses yeux rougis par les larmes. Je tombe dans ses bras, comme dans ceux de mes parents. « mais ou était-tu passée ? » Commence alors le plus dur. De mes ravisseurs, je ne connais, ni le nom, ni le visage… juste l’odeur de leur sang.

AUTRE CHOSE ⊱ je ne sais pas si le rp ira, étant donné que c'est un extrait de ma présentation, mais il me semblait logique de reprendre ce dernier, puisque c'est celui dans lequel elle effectue sa transformation finale, au terme d'une longue période d'apprentissage. Si, toutefois cela ne va pas, je m'arrangerais et je trouverais une autre idée pour exposer tout ça. bref, merci en tout cas, de lire tout ça.

PSEUDO ⊱ J. Lulla-Ivy McGonagall
ÂGE ⊱ 23 ans.
PARTICULARITÉ DÉSIRÉE ⊱ Animagus.
MOTIVATIONS ⊱ Comme tous bons parents, les McGonagall veulent la sécurité de ses enfants. Lulla étant une née moldue, sa sécurité est d'autant plus menacée. Sur des conseils des membres de l'Ordre on leur conseilla de lui apprendre à devenir un animagus. Ca serait d'ailleurs un membre de l'ordre, lui même animagus qui l'aurait aidé dans son apprentissage. Il commenca à ses quinze ans et sa première vraie transformation se fit lors des ses 22 ans. Aujourd'hui comme sa soeur, elle ne maitrise pas encore totalement ce don et a souvent du mal a retrouver sa forme humaine après une transformation. Le but de cet apprentissage est de lui permettre de se dérober plus facilement lorsque des sangs purs souhaitent la traquer, ca lui permet d'avoir un avantage pour eux et surtout de lui sauver la vie.

EFFET SUR VOTRE VIE QUOTIDIENNE ⊱

Le fait d'avoir été adoptée par une famille de sang-mêlé qui plus est, partisane de l'Ordre du phénix était plus que bénéfique pour Lulla. Même s'ils avaient de très gros doutes les puristes ne pouvaient pas s'en prendre directement à elle, elle en avait conscience. C'est bien pour cela qu'elle était toujours entourée, qu'elle ne sortait jamais seule dans des endroits mal fréquentés. Elle n'était pas encore assez folle pour prendre des risques inutiles. Bien sur elle savait se défendre seule mais face à une bande de fous furieux qui pensaient qu'elle faisait partie d'une race inférieure qui n'avait pas le droit d'exercer la magie et de vivre, non elle n'avait aucune chance. Alors qu'elle terminait son service au cabaret que tenait son frère elle attendait qu'il termine de vider la caisse et de faire les comptes. Elle se rapprochait de Percy et posait sa tête contre son épaule avant de s'inquiéter : « On a fait une bonne soirée ? » L'air sérieux du jeune homme la faisait toujours sourire, il émanait de lui une sorte sécurité, elle se sentait toujours bien avec lui. Avec lui dans les parages elle ne craignait rien, pouvait penser à autre chose, relâcher sa garde. « Ca va oui, allez go j'ai terminé. Mets ton manteau, on rentre. » Lui confia-t-il avant de passer un bras autour de ses épaules. Elle lui donnait un léger coup de poing dans les côtes avant de rétorquer un : « Oui mamaaaaaan. » qui fit rire son ainé. Elle attrapait son manteau qu'elle enfilait rapidement pour affronter la petite brise fraîche de la nuit. L'endroit semblait incroyablement calme pour des rues de Londres. Trop calme même. Alors qu'on rejoignait le centre ville Percy s'arrêta, le regard sombre. Dans un murmure sinistre il l'informa : « Ils sont là, va t'en je m'en occupe. » On pouvait lire la peur dans le fond de des yeux dorés de la jeune fille. Son palpitant eut un raté, stressée par cette nouvelle. Elle cherchait du regard des silhouettes qu'elle ne percevait pourtant pas. « Mais je... » Tenta-t-elle de répliquer, pas réellement d'accord pour le laisser seul. Il attrapa son bras et la poussa avant de répondre, le ton beaucoup plus dur et froid : « Fais ce que je te dis Lulla ! » Elle traversait la route, d'un pas rapide, avant de commencer à courir, nerveusement. Elle lançait un dernier regard derrière elle, son frère venait de sortir sa baguette alors que les individus se rapprochaient. Lulla accélérait le pas de course repensant à tout ce qu'on lui avait enseigné, elle ne pouvait pas prendre le risque d'être suivie et traquée. Son sang bouillonnait, elle retirait sa veste qu'elle jetait dans une benne, fermant les yeux ses membres se dérobaient alors qu'elle se retrouvait au sol, à quatre pattes.

Elle n'arrêtait pas de courir, toujours droit devant elle, ses pattes se posaient délicatement sur le sol, sans faire aucun bruit. Son pelage bleu foncé se fondait parfaitement dans l'obscurité de la nuit. Elle entrait dans le parc désert, c'était le terrain parfait pour dissimuler sa silhouette féline. Les muscles puissants de la panthère qu'elle était devenue lui permettaient de courir beaucoup plus vite, ni une ni deux elle sautait, plantant ses griffes acérées dans un vieil arbre majestueux. Elle grimpait, agile, au sommet se reposant sur une branche assez grosse pour supporter son poids. Haletante, ses yeux inquisiteurs scrutaient la nuit, la vision nocturne de l'animal lui permettait de voir comme un plein jour. Un râle de rage s'échappait de sa gorge. Elle attendit quelques minutes, s'assurant que personne n'avait pu la suivre avant de redescendre de son perchoir en un saut gracieux. L'herbe chatouillait ses coussinets. Tel un prédateur elle partit en direction du QG de l'Ordre, même si elle était sûre que quelqu'un était déjà venu en aide à Perceval. Elle était maintenant destinée à passer les heures suivantes sous la forme de son animal sauvage. Elle n'arrivait pas à canaliser son énergie dans ses situations là et seul l'épuisement lui permettrait de retrouver sa forme d'origine, une petite poupée blonde aux allures fragiles.

AUTRE CHOSE ⊱ Son apprentissage aurait pu être plus rapide que Esfyr grâce à l'aide du membre et du fait qu'elle ait plus de temps puisqu'elle n'était pas Poudlard. Et à l'occasion elle pourrait donc aussi aider sa soeur à controler leur frère lors des pleines lunes.

PSEUDO ⊱ Alekseï S. Gregorovitch
ÂGE ⊱ 27ans
PARTICULARITÉ DÉSIRÉE ⊱ Legilimens.
MOTIVATIONS ⊱ Obsédé de culture et de savoir, il est de rigueur d'affirmer que Alekseï possède ce don de naissance, qu'il a développé à l'âge de 17ans pour la première fois, et qu'il a ensuite maintes et maintes entraîné pour pouvoir le dominer d'une main de maître à présent. Cette particularité est ainsi en parfaite adéquation avec la personnalité affable, protectrice, cultivée et ambitieuse du jeune homme qui fut toujours un brillant sorcier avide d'en savoir toujours plus sur le monde qui l'entoure et sur l'anatomie humaine.
EFFET SUR VOTRE VIE QUOTIDIENNE ⊱ Si au début Alekseï le vivait plutôt bien, content d'être enfin reconnu aux yeux de tous comme un sorcier supérieur, rapidement il se rendit compte que son pouvoir attirait les envieux, qui cherchaient à le manipuler pour l'enrôler dans leur "camp". Aujourd'hui donc, il tente plus que tout de se faire oublier avec cette particularité, l'utilisant avant tout pour ses recherches de médecines ou soif d'en savoir plus sur le cerveau humain et sorcier, ce bel objet.
RP ⊱ « Emrys. » Alekseï connaissait parfaitement la tête qu'arborait son jeune frère. Très observateur et minutieux, il savait très exactement ce que signifiait ce sourcil à demi levé avec cet oeil droit aux tendances évasives qu'il avait en ce moment même. Il aurait pu décrire avec exactitude la fausse mine nonchalante et désabusée qu'il peut arborer lorsqu'il a quelque chose à cacher. L'observant et le brossant du coin de l'oeil alors qu'il était plongé dans une encyclopédie philosophique, Alekseï baissait alors ses lunettes rondes avant de poser ses deux yeux suspicieux dans les prunelles faussement décontractées de son frère. « Qu'est que tu m'veux encore Aleks' ? » « Emrys. Joue pas au con. » Il est chiant tout de même quand il veux. Il sait très bien qu'il sait. Enfin Alekseï sait très bien que son frère sait que Alekseï sait qui lui cache quelque chose, vous me suivez ? Ce dernier pose alors ses lunettes sur la table avant de se lever face à Emrys qui tente de déglutir silencieusement, tentative bien entendu raté confirmant ce que Alekseï savait déjà. « J'ai rien à te dire, fous moi la paix. » Alors qu'il tentait de s'en aller en feignant un air agacé, Alekseï empoignait fermement son bras. « Emrys. Me force pas à le faire, c'est plus simple si tu me disais ce qu'il t'as encore raconté. » Une fois de plus il rencontre le regard perçant et impétueux de son frère qui semblait vague quelques moment avant que celui ci lui donne un beau doigt d'honneur. « Va te faire, t'as pas le droit, j'suis de la famille, t'as promis que tu le faisais pas à la famille. » « Je fais jamais de promesses que je ne peux tenir Emrys. » Aussitôt donc, son regard capte le sien avant qu'il ne sorte la baguette de sa poche pour se donner plus de force, il empoigne les joues de son frère pour l'avoir entre les deux yeux sans que celui ci ait réellement le temps de répliquer, il se trouve déjà dans sa tête en accédant à tout l'entretien avec le patriarche Gregorovitch. Ce dernier est encore là à l'embobiner avec ces histoires de "vermines" des nés-moldus, à lui dire de surveiller son grand frère dont les écarts avec quelques sangs de mêlé pourraient causer des torts à la réputation de la famille, à le battre et l'engueuler pour ne pas s'être rapproché de telle ou telle famille influente, bref l'habituelle connerie. « Arrêtes Alekseï, t'as pas le droit de me faire ça, j'suis pas ton double, je fais ce que je veux. » Alekseï n'écoute pas les gérémiades de son frère et lui retire alors ces souvenirs, incapable cependant de retirer toute l'éducation drastique que leur père lui inflige tous les jours, lui implantant alors l'idée qu'il doit se faire sa propre opinion, qu'il doit rester de marbre et ne pas céder aux ordres de leur père. « Qu'est qui se passe Aleks' ? Qu'est que tu m'as encore fait ? » « Rien, tu venais juste de me voir dans une situation délicate et j'voulais pas que cela nuise au respect que t'as pour moi, dégages maintenant. » La dernière chose qu'il souhaitait, c'était que son frère finisse comme lui, éternellement pris entre deux feux, lui qui était resté tacite durant toutes ces années ou il avait subi, indécis, l'autorité ferme et conservatrice de son père.
AUTRE CHOSE ⊱ Merci d'étudier ma demande

PSEUDO ⊱ Erandor Stone Hartley
ÂGE ⊱ 24 Ans
PARTICULARITÉ DÉSIRÉE ⊱ Voyant
MOTIVATIONS ⊱ Je souhaites ce don parce que je trouve que ça peut-être intéressant à jouer surtout sur un né-moldu. J'aimerais vraiment jouer ce don, puis ça collerait vachement à ce que je veux. Il serait assez craintif de ces transe, et ça lui arriverait parfois en public, il paraitrait étrange aux yeux des autres alors ça plus le fait que certain seront que c'est un né-moldu, et tout, donc voilà. Ensuite, il ne sait pas comment il l'a eu, car c'est pas un don héréditaire, donc c'est tombé sur lui, et puis c'est tout. Il l'a découvert avant même ses pouvoirs magiques, mais peu avant. Il ne comprenait ce que c'était, il ne l'a compris qu'après en lisant des livres à l'école.
EFFET SUR VOTRE VIE QUOTIDIENNE ⊱ Ce don n'a pas forcément des incidences, enfin si. Je dirais qu'il en a dans la mesure où j'ai sens cesse l'impression que je vais déraper. Je ne sais quand je peux avoir une vision, mais malheureusement, c'est souvent, et les chances d'en avoir une sont décuplées lorsque je me mets à toucher quelqu'un et que quelques choses va lui arriver. J'ai du mal à assumer ce don parfois, car d'un coup, je peux m'effondrer, et trembler comme une feuille devant tout le monde ... C'est si lourd à porter !
RP ⊱

Salle remplis de convives ou dirais-je simplement de client que nous devrons servir le temps de leur visite. Certains resteront longtemps, d'autres juste quelques minutes, c'est la lois des bars ... Je suis derrière le bar tranquille. Je ne parles, je reste calme comme habituellement. Lequel devrais-je servir en premier ? Mon patron m'indique que je commence mon service maintenant. Je fonce vers la première table, et je découvre l'un de mes amis. Je lui souris, et lui donne une tape sur l'épaule. Un regard unique qu'il me transmet en un quart de seconde avant de me montrer d'un vif regard qu'aujourd'hui quelque sang pur sont là, et que j'en connais certain. Ils ne me feront rien, car ils sont en minorités dans le bar, mais encore, ils seront infectes, montrant leur haine, et promettront une mort prochaine de ma race comme ils disent. Je prends donc la commande de mon amie, avant de passer à une seconde table. Une jolie demoiselle est là. Elle est belle, et est avec quelques ravissantes amies. Elle me sourit, je n'en suis que ravie. Leur commande est déjà prise, et je dois me contenter de prendre les quelques gallions de son paiement. Alors que je pose ma main pour attraper la monnaie, sa main me frôle. Sensation étrange au toucher de sa peau. Frissons parcourant mon corps à une vitesse incompréhensible. Je recule inconsciemment. Mille et un frisson me poussent dans une folie immense. Tremblements par milliers tel un homme envahit par un nid de fourmis. ça ne m'arrive que rarement au travail, car je fais attention de ne pas toucher les gens, mais là, j'avais pécher sans le faire exprès. Je suis pourtant tout le temps sur le qui vive. Fièvre affreuse. Électrisation de mon corps pourtant à bonne température. ça recommence, et j'en ai marre. Mon cour bat au plus vite de son possible. Mes jambes tremblent, et j'ai si peur d’être tombé, mais je sais que je ne le saurais qu'à la fin de cette immonde, et énième crise. Sensation habituelle où je n'ai plus conscience de mon corps, mais uniquement de mon esprit. Mon enveloppe charnelle est comme paralysé, et à la fois engourdi. Je vois apparaitre milles images de la jeune femme. Son corps, sa peau, un homme inconnu, des baisers, un combat, des cris, des pleures, une fuite. Plus rien. Une dernière image et tout s’efface. Mes tremblements cessent, et je reviens à moi, sortant de ma frénésie dont je ne suis aucunement maitre. Je me rends compte que je suis appuyé sur la table de derrière. Pour une fois, je ne suis pas tombé comme un mal propre, c'est déjà ça. Je m'excuse auprès des jeunes femmes, prétextant des soudains mots de tête, et une maladie non transmissible. Je retourne derrière le comptoir et range les gallions dans la caisse. Je vais dans l'arrière du bar, et je me passe de l'eau sur la visage. Mais pourquoi toutes ces images ? Que va-t-il arriver à cette fille ? Je perds mes moyens je le sens. Je sais que mon patron va débouler, et me demander de retourner illico presto au boulot, mais je dois me remettre très vite avant de mes émotions. Je respire un grand coup, repensant néanmoins à toutes ces images, car si j'ai eu ce don, c'est surement pour faire des choses biens, non ? Je ne jouerais jamais les supers héros, mais si je peux aider, je le ferais ... Je retourne dans la salle, et continue mon service, faisant comme si de rien n'était ...
AUTRE CHOSE ⊱ Je vous remercie d'avance d'avoir lu.