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 TRY AGAIN TOGETHER (r).

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Clare Black
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MessageSujet: TRY AGAIN TOGETHER (r).   TRY AGAIN TOGETHER (r). I_icon_minitimeMar 17 Avr - 20:17


CLARE & MELUZINE


❘▶

Loin de paraitre suspect, c’était souvent ce qu’elle entendait lorsqu’elle rendait visite à ceux qui lui avaient donnés la vie. Une vie extrêmement compliquée, sans la moindre espérance de choix de destinés. Clawrence ne passait jamais par choix, mais plutôt pour ne pas éveiller les soupçons, des soupçons qui pouvaient grandir aussi vite qu’ils pouvaient être passé sous silence. Le silence était bien ce qui résidait entre les étagères du vieux commerce où elle travaillait depuis moins d’une année désormais. L’odeur du papier ayant absorbé l’humidité se faisait sentir mais cette senteur aussi dérangeante qu’agréable lui donnait une sensation de sécurité et déjà vu. Son passé mentionnait tout un tas de livre allant d’un pavé aussi énorme qu’une grimoire à une recueil de sorcellerie aussi mince qu’un cahier de brouillon moldu. Les seuls manuscrits moldus qu’elle avait réussi à ce procurer demeurait aux jours d’aujourd’hui cachés sous les lattes d’un vieux planchés du grenier de la maison de son enfance. Cette dernière ne pouvait lui enlever de l’esprit ces moments de partage avec Sirius, l’un des fils Finnigan dont elle c’était liée d’une amitié à vous rendre parfois complètement folle à lier. Le dénommé Sirius apparaissait aussi vite qu’il était revenue et ne revenait que lorsque les possibilités le lui autorisaient. Les possibilités faiblissaient petit à petit et au fur et à mesure des jours la politique des sangs-purs ne faisait que grandir et d’empirer. La ruelle principale du Chemin de Traverse avait perdue de ses visiteurs dernièrement et cela lui fendait légèrement le cœur de ne plus voir de petits gamins près à entrer à Poudlard pour choisir leurs livres de rentrée, s’émerveiller devant le choix de leur animal de compagnie ou encore d’essayer pour la toute première les tenues et uniformes scolaires qui sentait l’odeur du neuf et du travail. Une époque désormais révolu pour la plupart des sorciers, mais pas tout à fait terminé pour les gens qui comme elle continuait de croire en la vivacité de l’espoir et du changement de chacun. Nous n’étions pas tous condamnés à accepter les lois, nous n’étions pas que des pions à la merci des ceux qui se croyaient supérieurs aux autres parce qu’ils ne possédaient pas un sang pur. Voila ce qu’elle pensait intérieurement au plus profond de son esprit, elle était d’un noble lignage comme le lui répétait si bien son premier Ministre de père, mais elle pensait avec divergence à ces idéaux complètement erronés et destructeurs à souhait. En rangeant le dernier livre a son emplacement propre, la jeune Black fut légèrement tiré de sa réflexion par un hululement désormais coutumier depuis presque six années, un hululement de rapace qui ne pouvait qu’appartenir à sa chouette hulotte. Se faufilant au travers des diverses et nombreuses rangées du commerce de bouquins, Clare pu voir sa chouette accroché sur la rambarde de l’escalier en bois. Son regard aussi ocre que la couleur du bronze la sondait d’une intensité sans pareille, signe qu’elle avait dû effectuer un long voyage et la brunette imaginait déjà la provenance de ce massage. Levant doucement son bras pour y accueillir son volatile aux plumages d’un blanc cotonneux, Clare la couva d’une œillade silencieuse et calme ce qui incita dès lors l’animal à obéir à sa maitresse.

Une fois la missive en main, la belle n’avait pas osé déplier l’enveloppe et l’avait donc mis au fond de la poche de sa veste de laine rouge. Elle appréhendait la lettre de son camarade d’enfance, non pas parce qu’elle lui en voulait de son absence car il n’avait pas le choix mais tout simplement parce qu’elle ne voulait pas ressentir la douleur qui lui poignarder le cœur en lissant sa lettre. Reportant néanmoins sur l’environnement qui l’entourait, Clawrence pu néanmoins constater que les ruelles de la capitale britannique n’avaient pas changées, toujours aussi désertes et les pavés des trottoirs demeuraient toujours aussi sales et humidifiés par le temps ombrageux qui s’apprêtait à éclater à tout instant. Mains dans les poches, la brune aux nombreux reflets de cuivre posa son attention droit devant elle afin de ne pas trop attirer l’attention sur sa personne. Elle n’aimait pas cela et a dire vrai elle ne l’avait jamais aimée. La position de son père au sein du Ministère ne faisait que grandir, mais sa versatilité naturelle à jouer sur les deux fronts lui permettait de rendre les soupçons en un tas de poussière bien amer et impossible à attraper. Lorsqu’elle débarqua au quartier général de l’ordre qui se trouvait sous les sous sols du Cabaret le plus fréquenté, la Black pu y voir quelques visages devenus amicaux, et certains lui adressèrent un sourire courtois et sympathique tandis que d’autres restaient sur leurs réserves. Mais très sincèrement qui pouvaient les blâmer ? Deux Black membres de l’Ordre qui étaient les filles du Thaddeus de surcroit ne pouvait qu’attiser la méfiance et le doute voir même la crainte. Avec le temps, on apprenait à faire abstraction et doucement mais certainement la confiance s’installait. Au loin, une silhouette fine et une chevelure d’un blond de blé satiné lui permit d’esquisser un maigre sourire. Méluzine, l’une des filles Weasley se tenait assise les yeux rivaient sur plusieurs parchemins, certainement des essais de potions. Clare s’avança en sa direction en déposa une main sur son épaule comme pour la prévenir afin de ne pas trop la déranger de son attention.


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Méluzine Weasley
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MessageSujet: Re: TRY AGAIN TOGETHER (r).   TRY AGAIN TOGETHER (r). I_icon_minitimeMer 18 Avr - 16:32


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clare & méluzine
❘▶ play now
Le thé tournoyait dans le fond de la tasse tel un siphon qui aspirait l’eau au fond d’une baignoire. Des vapeurs à l’odeur citronnée acide sortaient du liquide chaud et un bruit de fond sortait la jeune sorcière Méluzine Weasley, de sa torpeur. Elle se trouvait à Londres, dans un petit café répondant au nom de Little break alors que le crépuscule venait de se lever doucement. Méluzine était ici en attendant l’ouverture du cabaret, l’étincelle de la sorcière. Une nouvelle fois, la jeune femme avait passé une nuit épouvantable. Entre rêve et réalité, elle avait vu Bryson, puis Gale entrain de devenir un loup et enfin, son chat qui miaulait au beau milieu de la nuit car il avait faim, toujours faim ! La vie de la sorcière ressemblait à une tornade où elle n’arrivait à rien attraper. Tout lui échapper, lui filer entre les deux. Bryson était l'équivalent de poussière qu’on ne pouvait s’emparer, qu’on sentait partir. L’impuissance était totale et la nervosité avait prit possession de la jeune femme qui sentait ses mains trembler en tenant la tasse. Elle laissa échapper un profond soupire avant de prendre une petite meringue près de la tasse et de croquer dedans. Le sucre avait un effet de calmant sur elle, de quoi faire baisser la pression et se relaxer un instant. Méluzine perdait tout contrôle en ce moment et elle avait franchement besoin de prendre l’air, mais comment ? Elle l’ignorait et elle préférait se consacrer à sa profession, oubliant le reste, tant qu’elle le pouvait. Mais la nuit, les fantômes de son passé prenaient un malin plaisir à venir la hanter. Méluzine passa une main sur ses yeux. Elle ne cessait de les fermer et de les ouvrir. La fatigue se faisait ressentir et elle rêvait de son bon lit, des bras réconfortants de Bryson ou Gale autour, pour chasser ses peurs les plus intimes. Mais elle était seule à lutter dans un tourbillon bien trop puissant pour elle. Cette-dernière n’avait qu’une envie, s’abandonner à ces forces inconnues et se laisser tomber pour dormir, dormir pour toujours.

(...)

La tasse de thé était vide. Méluzine sortit son sac plusieurs pièces qu’elle déposa sur la table. Elle laissa un petit pour boire et sortit. Il faisait assez beau, mais le soleil était en berne et restait cacher derrière des nuages. Les moldus s’activaient dans les ruelles, les boutiques ouvraient et petit à petit, le rythme prenait chaque personne, sauf la Weasley qui voulait juste s’évader, mais rien ne pouvait y faire. C’était maussade, point. Face à l’enseigne de l’étincelle de la sorcière, elle resta silencieuse. C’était une enseigne clignotante, montrant une sorcière avec un chapeau pointu et une petite jupe. Une enseigne coquine en somme, sans être vulgaire. Mais si devant ce cabaret, les moldus se bousculaient tous les soirs ou presque pour passer une bonne soirée devant le spectacle, peu de sorciers, pour ne pas dire, une poignée d’entre eux, savaient que le cabaret était plus qu’un simple lieu pour admirer la beauté féminine. Méluzine poussa la porte qui se mit à grincer à cause de l’usure et suivit un petit couloir peu éclairé. Ce n’était pas l’entrée principale, elle était réservée au personnel et aux membres de l’ordre, accessoirement. Une fois au bout, Méluzine ouvrit la porte pour déboucher sur les loges qu’elle traversa rapidement avant d’arriver devant un mur où elle posa la pointe de sa baguette en lierre à un endroit précis. Le mur disparut pour laisser place à des escaliers vers les sous-sols. Le bastion de l’ordre. Les sous-sols du cabaret avaient l’avantage d’être grands et Perceval McGonagall avait scellé le lieu de l’ordre dans le serment inviolable. De quoi garantir une sécurité contre les curieux et les chiens du ministre.
(...)

Méluzine posa son sac sur une des tables et attrapa un parchemin qu’elle déplia. Le papier prenait la plupart de la place. La sorcière se laissa tomber sur la chaise et regarda les écrits. C’étaient des vieilles runes qu’elle avait pour mission d’étudier car le secret de ce parchemin refermait un puissant sortilège de guérison qui pouvait aider l’ordre. Le parchemin avait été dérobé subtilement par un sorcier en infiltration dans le département des mystères et Méluzine était déterminée à découvrir ce qu’il cachait. Ainsi, ça lui permettait également d’oublier sa vie lamentable. Elle attrapa une plume, un bloc note et commence à continuer de traduire le tout. C’était long et épuisant, mais nécessaire. Au bout d’une heure, peut-être deux car la jeune femme avait perdu la notion du temps, elle sortit de l’intérieur de son sac, un bout de brioche finement emballé dans du papier. Elle en prit un morceau. Elle n’avait déchiffré qu’une infime partie du parchemin, mais elle n’allait pas abandonner. Tout était codé et le sorcier à l’origine de ce sortilège devait être un génie, mais Méluzine allait y arriver. Elle devait au moins réussir ça. Le temps s’écoula et elle ne cessait d’avancer, mais le chemin était encore long. Soudain, elle sentit une main se poser sur son épaule et se retourne, sa baguette à la main. Sait-on jamais, mais non. Elle soupira profondément en voyant son amie Clare Black et passa une main dans ses cheveux avant de les remonter en un chignon rapidement. « Clare... C'est toi. Tu m'as fais peur. » avoua la jeune femme en souriant légèrement. Si elle pouvait, elle prendrait un autre thé. Sur le visage de Méluzine se lisait de la mélancolie, du détachement, mais aussi, de la colère contre elle-même. « J'avance petit à petit dans le décodage du parchemin, mais c'est long et assez complexe. J'ignore qui en est l'auteur, mais c'était un sorcier confirmé, pour sûr. » elle hocha la tête avant de regarder Clare. Ne pas penser à Bryson. Mais... Non. C'était trop difficile et déjà, elle craquait. Elle voulait de ses nouvelles ! « Clare... Bryson va bien ? » demanda-t-elle d'une voix cassée. Elle tenait, mais difficilement.





Dernière édition par Méluzine Weasley le Ven 20 Avr - 15:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: TRY AGAIN TOGETHER (r).   TRY AGAIN TOGETHER (r). I_icon_minitimeVen 20 Avr - 13:55


CLARE & MELUZINE


❘▶

La vie était dure, intense et déloyale envers celui qui la menait. Les temps étaient sombres, craintifs et dénués d’espoir, il ne suffisait pas de le vivre pour le savoir mais d’être présent et logique pour le constater, du moins pour les plus honnête d’entre nous. Les prunelles de la brunette avaient vus beaucoup de mouvements et d‘actes, ses oreilles avaient été témoins d’un bon nombre de conversations, et sa mémoire quand elle n’oubliait rien. Son père avait beau tenir une place de haut rang et de prestige au sein du Ministère, il n’en demeurait pas moins une erreur de la nature de penser ainsi pour sa propre fille. Ses deux filles avaient choisis un camp qui les mettait en défaut vis-à-vis de leur ascendance, mais quelle ascendance en vérité ? Juste de quoi maudire et accentuer la haine entre les différentes collectivités magiques ou non magique. Par bien des façons, la Clawrence c’était interrogée sur les différentes motivations de son géniteur et aussi nombreuses soient elles, elles étaient toutes erronées et pourvues d’un but de puissance de renom. Les sous sols de l’Etincelle de la sorcière étaient assez grands et apprêtés pour les réunions d’un mouvement de rébellion qui voyait jour après jour accueillir de nouveaux membres, des membres dont l’adhésion en surprenait guère tandis que parfois le contraire était au rendez vous, c’était son cas lorsqu’elle avait demandée à être introduite dans l’ordre mais certaines personnes ici présentent pouvaient témoigner de sa bonne foi et de sa confiance à toute épreuve. Il était toujours de rigueur de pouvoir être perçue comme un traitre, cela Clare en avait pris le soin de le feinter sans y faire attention, après tout son père n’était dans les grâces de personne, pas même ses propres enfants. Ces enfants … Ce mot resta quelques instants à l’esprit de la jeune femme, qui se dès lors à penser à chacun de ses frères et sœurs, tous si différents et pourtant unis dans un quelque part qui n’avait plus réellement sa propre place.

La vie était dure, intense et peu louable pour celui qui la désirait. Les temps étaient ombrageux, et laissaient toujours tomber quelques gouttes de pluie témoins de la souffrance de tout à chacun. Le temps se formait sous l’aspect de grains de sable qui défilaient sans même que l’on puisse en déchiffrer la matière et l’importance. Lorsqu’elle était entrée au sein du quartier général de l’ordre, elle avait tout de suite repéré la silhouette coutumière de sa camarade qui était bien que cela en réalité. Elle était une amie de confiance et de bienveillance, mais surtout elle tenait énormément à Bryson. Un point qui avait d’autant plus mis leur relation amicale en accord entendu. « Clare … C’est toi. Tu m’as fait peur. ». Lui avait elle dit en toute sincérité avant d’esquisser un sourire qui la trahissait quelque. Lire l’avenir n’était pas dans ses cordes après tout elle ne possédait aucunement le don du troisième œil mais lire entre les lignes en revanche avait toujours était intuitif comme un second instinct. Sa mélancolie, sa tristesse et sa nostalgie se reflétaient dans ses prunelles d’un bleu azur lointain et vagabond. Une certaine hargne ne cessait de se distinguer dans son regard, comme si une impuissance entravait ses liens et sa volonté de faire. Un sentiment que la Black ne comprenait que trop bien. « Je suis désolée, ce n’était pas du tout mon intention. ». Lui répondit elle d’une intonation de voix calme et posée tout en s’installant en face d’elle. Clare l’observa d’une œillade attentive bien que furtive et ne pu s’empêcher de sourire discrètement en voyant que la blonde avait grignoté, au moins certaines habitudes ne changeaient pas et cela se voulait rassurant dans le fond. Un parchemin dont l’écriture demeurait codés reposait devant elle, et a première vue elle travaillait dessus d’arrache pied afin de pouvoir en connaitre la signification concrète.  « J'avance petit à petit dans le décodage du parchemin, mais c'est long et assez complexe. J'ignore qui en est l'auteur, mais c'était un sorcier confirmé, pour sûr. ». Derechef Clare porta son attention première sur le parchemin qui se trouvait devant la jeune Weasley et tout en l’écoutant elle ne pouvait que la croire sur parole. Ce parchemin était crypté de haut en bas et le sorcier qui en était à l’origine avait pris le soin d’agir avec prudence contre la future curiosité. « Oui, il doit y avoir certains caractères qui se ressemblent et qui ont quelques ressemblent a des écritures anciennes. ». Poursuivit elle tout en reposant son regard sur sa voisine qui semblait fatiguée et complètement à bout. Les runes et donc les différentes langues et écritures anciennes n’avaient pas de secret pour cet érudit naturellement nait, et alors qu’elle allait proposer son aide à Méluzine, cette dernière la toisa avec un certain silence, au bord de la rupture de sa volonté. « Clare … Bryson va bien ? ».

La vie était dure, intense et redoutable pour celui avait perdu un morceau de son âme, de sa mémoire. Les temps étaient froids pour Bryson et Méluzine qui avait vécus des choses agréable de par le passé avant que la noirceur des Black ne viennent tout leur enlever. Bryson, le frère ainé de Clare avait toujours tout fait pour protéger sa cadette et des souvenirs chaleureux et complices emplissaient encore sa mémoire. Elle ne voyait Byrson que très peu de fois ces dernières semaines mais elle ne manquait jamais de passer le voir ou de prendre de ses nouvelles lorsqu’elle se rendait au manoir, ou encore en lui envoyant des missives qui parfois restait sans réponse durant plusieurs jours, sans doute à cause de l’influence parentale bien trop forte, bien trop destructrice. Passant une main sa chevelure légèrement ondulé pour chasser ses pensées personnelles, Clare regarda Méluzine dans les yeux avant de lui répondre avec douceur et détermination. « Il va … bien Méluzine, il va plutôt bien je l’ai vu pas plus tard qu’hier lors d’un repas de famille mais ça semblait aller. ». Elle pouvait imaginer la douleur qui assiéger sa camarade, après tout son histoire avec Sirius n’était pas si différente mais elle n’était pas encore vu au grand jour au contraire de la situation de son ainé de frère et de la jeune Weasley. Clare prit la main de Méluzine dans la sienne comme pour lui faire comprendre que si jamais elle avait besoin d’elle pour quoi que se soit elle pouvait compter sur elle. « Je sais que c’est dur, j’essaie moi-même de le sortir de l’emprise de Thaddeus mais c’est plutôt complexe. ». Clare nommait son père Thaddeus, un fait peu nouveau lorsqu’il n’était pas là, mais en sa présence la mascarade était de rigueur, mais il était véridiquement vrai que c’était compliqué de venir chercher des solutions surtout lorsque le Ministre filtrait tout ou presque vos moindres faits et geste.



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